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Infos et actions des établissements scolaires du Sud de Paris

16 avril 2007

Réunion du collectif 92 Sud

Il est temps de se revoir !
Rendez-vous tous le jeudi 26 avril à 18h15 !


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16 avril 2007

Bilan de la nuit d’occupation du 5 avril (Lycée M. Genevoix de Montrouge)

L’organisation de cette action est maintenant bien rôdée :

  • 18h15 réunion débat

  • 20h repas festif

  • 20h30 spectacle.

Cette occupation a été répercutée par France Culture et l'AFP.

La réunion a rassemblé une vingtaine de personnes, des enseignants bien sûr, des parents, dont la représentante de la FCPE du lycée, une agent. Nous avons aussi eu la visite de Laurent Desanti du SNES 92 et celle de Géraldine, collègue du lycée Lakanal. Enfin, un professeur du collège M Genevoix est venu également.

Deux décisions ont été prises, malgré les difficultés de mobilisation constatées :

  • celle de réunir à nouveau les parents d’élèves le vendredi 27 avril pour les inviter encore plus à agir avec nous,

  • et celle d’adresser un appel aux organisations syndicales pour qu’elles organisent  au plus vite une action unitaire nationale de grève et d’occupation d’établissements  (seul pour l’instant le SNEP, syndicat FSU des professeurs d’EPS appelle à la grève).

Le repas a réchauffé toutes les énergies.

Le spectacle de danse et la diction d’un conte dans le théâtre du lycée ont ravi les spectateurs et la journaliste de France Culture (venue nous interroger à 20 heures et, enthousiasmée, repartie à minuit).

 

La crèche a réuni 9 enfants autour de deux baby sitter. Nous préparons ainsi la relève.

16 avril 2007

TROP C’EST TROP !!!

Depuis des mois les profs grondent, depuis des mois nous essayons de nous faire entendre, d’attirer l’attention de l’opinion publique sur le danger que courre l’éducation, mais en vain !

J’espère que par ce mail, je saurai expliquer de façon claire ce qui est en train de se passer.

 

Le médias commencent enfin à parler de nous depuis quelques temps (TF1 lundi 12 mars au soir : lycée Ionesco d’Issy les Moulineaux : c’est le mien ! France 3 région ce jeudi midi, Le parisien, …), mais sur une ou deux éditions, c’est un peu court pour tout résumer.

 

Depuis une vingtaine d’années, les profs passent pour des privilégiés qui ne font rien et gagnent beaucoup d’argent. Il est très facile de nous dénigrer, c’est une position qui rassemble. Pourquoi nous ? J’avoue avoir raté un épisode…

Mais si notre vie est si enviable : pourquoi tout le monde ne s’engage-t-il pas dans l’éducation nationale ??

 

Plus sérieusement, voici nos problèmes, et nos revendications : elles touchent les enseignants, mais aussi les familles et les élèves :

 


1) Le salaire :

En quelques années, notre pouvoir d’achat a beaucoup baissé : depuis l’an 2000 : - 6 % ! A ce rythme, que nous restera-t-il dans 10 ans ? Et dans 40 ? Je viens juste de commencer !!!

Nous demandons une REELLE REVALORISATION DE SALAIRE !

 

(Au passage : Mr de Robien a annoncé une hausse de salaire de 300 € pour tous les enseignants, il s’agit en fait des « hors classe », soit les mieux payés, qui ont déjà une maison, des enfants en fin d’études, etc… et surtout, ils ne sont que 11 000 pour 850 000 profs au total ! Gare aux effets d’annonce en période pré-électorale !!!).

2) Les décrets fixant les obligations réglementaires de service du personnel enseignant du second degré, dits décrets De Robien :

Ces décrets modifient nos obligations de service. Ils ont été  soumis au Conseil Supérieur de l’Education les 7-8 juillet 2005 et au Comité Technique Paritaire Ministériel le 13 juillet 2005. (Pendant les vacances, histoire que personne ne réagisse…)·

Nous sommes depuis le 1er janvier, tenus de remplacer nos collègues sur demande du chef d’établissement  à hauteur de 5 h par semaine (maximum).

Le décret ne précise pas s’il s’agit de collègue d’une même classe, donc d’une autre matière, ou d’un collègue de la même matière dans une classe dont nous ne connaissons pas les élèves.

Si un service est incomplet : nombre de classes insuffisant… tout enseignant doit  faire :

- soit un complément de service dans un ou 2 autre(s) établissement(s) de la même commune ou dans une commune différente, dans un établissement de même niveau, ou non.

ex : certains de mes collègues enseignent en collège et en lycée, avec le problème d’avoir à enseigner jusqu’à 7 niveaux différents, sans compter les différentes premières et terminales ou les programmes sont là aussi différents (11 niveaux en tout dans l’enseignement général, sans compter le technique et le professionnel dans des lycées comme le mien.)

Pour tout dédommagement, ils ont le droit de faire une heure de moins que les autres… dédommagement pour les trajets, les multiples préparations, les multiples conseils de classes, les multiples corrections, et bêtement, les multiples noms à apprendre…

- soit il doit enseigner une autre matière « conforme aux compétences des enseignants ».

Vu que je parle français couramment, devrai-je enseigner le français ? Ou puisque j’enseigne les SVT (sciences naturelles) devrai-je enseigner les sciences physiques qui restent une science ??

Heureusement, le décret prévoit que l’enseignement doit être d’accord pour cela.

Seulement voilà : c’est le chef d’établissement qui nous le demandera, et c’est lui qui nous note en cours d’année.

Cette note nous permet d’avancer plus ou moins vite dans la carrière, donc détermine en partie notre salaire.

Donc, nous accepterons, sans être formé pour autant… La qualité de l’enseignement aura sûrement à en souffrir.

 Suppression de l’heure de chaire pour les classes de première.

Jusqu’à février dernier, l’état estimait que le travail de préparation de cours, de TP, de corrections de copies en classe de première (S pour ma part) donnait droit à une heure rémunérée en plus, tant la quantité de travail est importante dans cette section.

Il en est de même pour les classes qui présentent une épreuve au BAC.

Or cette heure de chaire de première vient de nous être supprimée, ce qui nous empêche du coup de bénéficier de celle de terminale, puisqu’il faut 6 h d’enseignement dans ces classes. Or en terminale, le prof donne 5 h de cours, alors qu’il en donnait 6 en première !

Baisse de salaire de 150 € net par mois.

 Suppression de l’heure de laboratoire.

Avant, un enseignant de SVT était désigné pour s’occuper du laboratoire : commandes, suivi du matériel, installation du nouveau matériel, gestion des stocks, inventaires, etc…

Il bénéficiait pour ce travail d’une heure rémunérée en plus.

Cette heure étant supprimée, il n’y a plus de responsable de laboratoire, donc tout le monde doit gérer ses propres commandes : un bazar monstre en perspective et un travail énorme… ou au contraire, on arrête ce travail bénévole, et donc on ne fait plus de TP. Malheureusement, les élèves sont notés au bac pour 1/5 sur les TP. Et s’ils n’en font aucun dans l’année ?...

La qualité et le nombre des TP auront sûrement à en souffrir.

Baisse de salaire de 150 € net par mois pour le responsable de labo qui ne le sera plus, et continuera le même travail pour son compte. (Baisse qui s’ajoute à la précédente)

Pour toutes ces raisons qui nuisent à la qualité de l’enseignement et à la rémunération des enseignants, nous demandons le retrait des décrets dit « De Robien »


Tous ces points sont tirés des articles parus au journal officiel (du gouvernement), vous pouvez aller y jeter un œil pour vérifier :

http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/Ajour?nor=&num=50-581&ind=1&laPage=1&demande=ajour


3) La DHG :

Le rectorat donne à chaque établissement un certain nombre d’heure qu’il paiera pour que nous dispensions les enseignements obligatoires.

Or chaque année, il faut se battre car nous n’avons pas assez d’heures.

Conséquences :

- certains collègues font une partie de leurs cours de façon bénévole

- certaines classes sont surchargées (42 élèves en espagnol à la rentrée 2006 !) car on regroupe les élèves (on prévoit 2 classe sur un créneau en EPS, car cela concerne des classe où on pense qu’il y aura régulièrement des absents !...)

- certains collègues commencent l’année avec une classe qu’on leur enlève après 1 ou 2 mois (car pas d’argent !)

- de nombreuses classes ne bénéficient pas de toutes leurs heures (mes terminales ont 1 h de philo et 1 h de maths en moins que les heures obligatoires, et ils ne sont pas dédoublés en anglais comme cela devrait être le cas. C’est autant d’heures en moins pour préparer le BAC) L’école est elle vraiment la même pour tous ??

Est-ce légal ? Non… mais qui s’en occupe ?

Qu’avons nous fait lutter contre cela ?

Des grèves et manifestations (à peine médiatisées) les 18 décembre 2006, 8 février 2007 et 20 mars, grèves  suivies par environ 50 % des enseignants de collège et lycée, sous les couleurs de l’intersyndicale, une association de syndicats de tous bords (donc sans orientation politique) représentant 99 % des enseignants !

Malgré cela, le décret a été définitivement accepté et publié au journal officiel le 13 février 2007.

Définitivement, jusqu’à ce que nous puissions le faire supprimer ! C’est possible, il faut juste se mobiliser.

Donc nous continuons : dans mon lycée, comme beaucoup, nous avons boycotté les bacs blancs, la remise des bulletins aux parents, les réunions comme le CA, … toutes les actions supplémentaires que nous faisons déjà « naturellement » sans être payés sont menacés.

Nous avons organisé une journée « lycée mort » le 15 mars où nous n’avons pas assuré de cours, mais rencontré les parents à la place.

Ce soir, jeudi 5 avril, nous occuperons le lycée pour la nuit, après une réunion au cours de laquelle nous expliquerons tout cela aux parents. Nous avons besoin de leur soutien, et souhaitons un maximum de transparence.

Nous continuerons les grèves.

A savoir : à chaque fois nous perdons entre 75 et 100 € chacun. Ces grèves ne sont pas un acte banal, cela nous coûte dans tous les sens du terme, et comme nous occupons les locaux, il n’est pas question de partir en we prolongé !

Pour le troisième trimestre il est question de ne plus remplir les bulletins, et surtout à terme, si nous ne sommes toujours pas écoutés, nous, enseignants du secondaire, envisageons très sérieusement de bloquer le BAC : c'est-à-dire garder les copies ou les notes, et ne pas les transmettre, ce qui rendrait impossible l’organisation des oraux de rattrapage et l’inscription dans le supérieur.

Evidemment, les premiers touchés seront les élèves. C’est pourquoi nous souhaitons vivement être entendus avant d’arriver à de telles extrémités ; mais le cas contraire nous tiendrons bon !

Pour info : de très nombreux jeunes collègues (dont je fais partie) réfléchissent actuellement à changer de métier et démissionner. Après toutes les études investies, et le plaisir à être avec nos élèves, c’est un choix douloureux, que font de plus en plus d’entre nous.

Notre Ecole au sens large est en danger à de nombreux points de vue, j’avais besoin de pousser ce cri d’alarme.

Merci d’avoir lu jusqu’au bout, je sais que ce n’est pas marrant, en plus, j’ai sûrement oublié plein de choses, mais c’est très important.

Je compte sur votre attention pour bien décrypter les messages des médias et des politiciens (Sarkozy veut suspendre le décret, Royal et Bayrou veulent l’abroger, mais que feront-ils à la place ?) et n’hésitez pas à me poser toutes les questions les plus farfelues.

Je vous mets en pièce jointe un résumé fait par un prof de sciences éco, et un futur tube des royal picards, c’est TROP FORT !!!

http://whatamidoinghere.hautetfort.com/archive/2007/03/17/komenkifon-pour-konnetre-si-bien-le-bleme.html

Magali Perrin

Professeur de SVT au lycée Ionesco (92)

Le 5 avril 2007.

4 avril 2007

Communiqué de presse de la nuit d'occupation le 5 avril

Le service public se meurt : l'Education Nationale en danger ! - Pour le retrait du décret de Robien ! - Pour la restitution des moyens budgétaires supprimés !! - Contre la casse de l’enseignement public !!! NUIT D’OCCUPATION DES ETABLISSEMENTS du 92 sud JEUDI 5 AVRIL 2007 Après plusieurs nuits d’occupation et la participation aux grèves nationales, les établissements du 92 sud, organisés en coordination, estimant n’ayant pas été entendus, ont décidé d’occuper de nouveau leur établissement. RESISTANCE ! Tous ensemble, sauvons l’école publique Le collectif des établissements du 92 sud (collèges et lycées) Avec le soutien de la CGT 92 et du SNES 92
1 avril 2007

Nuit d'occupation le 5 avril

Pour le retrait du décret de Robien, la restitution des moyens budgétaires supprimés et s’opposer à la casse de l’enseignement public, le collectif des établissements du 92 sud, soutenu par le SNES 92, la CGT 92…,  propose une nouvelle :

 

NUIT D’OCCUPATION

DES

ETABLISSEMENTS

du 92 sud


JEUDI 5 AVRIL 2007

 

 

Tous ensemble, sauvons l’école publique

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1 avril 2007

Réunion des établissements du 92 sud : compte-rendu

A l’initiative des sections syndicales locales (SNES, SNEP...) » et de l’ AG de l’établissement, et avec le soutien des sections départementales du SNES et de la CGT 92, les enseignants du lycée M.Genevoix de Montrouge ont organisé le vendredi 30 mars une réunion des établissements du 92 sud, afin de coordonner leurs actions pour le retrait du décret de Robien et la restitution des moyens budgétaires supprimés .

Etablissements représentés (11) :

-  collèges : Lakanal (Sceaux), Michelet (Vanves), Maurice Genevoix (Montrouge), Les Ormeaux (Fontenay aux roses), Bartholdi (Boulogne), Haut Mesnil (Montrouge)

-   lycées : Lakanal (Sceaux), Michelet (Vanves), LPO Ionesco (Issy les Moulineaux), Maurice Genevoix (Montrouge), LP Florian (Sceaux).

Sections syndicales d’établissements représentées : Sud, FO, SNES, SNEP, CGT,

Sections syndicales départementales : SNES 92, SNEP 92,

Plusieurs personnes non syndiquées.

Décisions :

  • nouvelle nuit d’occupation le Jeudi 5 avril (décisions acquises pour les lycées M Genevoix et Ionesco, en attente pour les autres),

  • établir une mailing list (responsable Frédérique Omer, lycée Maurice Genevoix, frederique.omer@gmail.com)

  • rendre visite aux établissements les plus proches pour les convaincre d’agir avec nous,

  • solliciter les élus par lettre,

  • envisager des manifestations de villes après les vacances avec les parents notamment,

  • articuler les actions dans l’établissement (démission des charges de coordination, refus de participer au conseil pédagogique, rétention des notes et conseils de classes muets au 3ème trimestre etc..) et actions nationales (l’idée d’un appel syndical national à la grève et à l’occupation a été lancée mais pas suffisamment creusée pour être retenue),

  • se retrouver en réunion du 92 sud le mercredi 25 ou le jeudi 26 avril au lycée M Genevoix de Montrouge.

Un blog du collectif des établissements du 92 sud a été créé :

http://education92.canalblog.com/

 

28 mars 2007

Grande réunion 92

Réunion des établissements du 92 sud

 

A l’initiative des sections syndicales locales (SNES, SNEP...) et de l’ AG de l’ établissement,

et avec le soutien des sections départementales du SNES et de la CGT 92, les enseignants du lycée M.Genevoix de Montrouge

vous invitent à une réunion des établissements du 92 sud, afin de coordonner leurs actions

pour le retrait du décret de Robien et la restitution des moyens budgétaires supprimés :

 

Vendredi 30 mars à 18 h15 au lycée Maurice Genevoix
29, avenue du Fort
92120 Montrouge

21 mars 2007

Une bonne idée !

Opération BAC POUR TOUS

Pour obtenir L’ABROGATION du décret Robien

Les professeurs du lycée Jacques Brel de la Courneuve vous proposent l’action suivante : désorganiser le bac en mettant 19/20 à tous les candidats.

A) Avantages

 1) Cette action ne pénalise pas les élèves : ni les bons, dont le mérite est déjà reconnu dans les dossiers scolaires, ni évidemment les moins bons. Elle sera donc populaire et médiatisée étant donnée l’importance de cet examen. (nous allons dès aujourd’hui envoyer un tract à la presse).

2) Elle est impossible à anticiper et à contrer puisque les SIEC ne pourront savoir quel correcteur y participera et il sera trop tard fin juin pour organiser une nouvelle correction, ou annuler l’examen.

3) Vis-à-vis des élèves de Terminale, elle ne nous met pas dans une situation ingérable : nous leur dirons qu’ils ne peuvent pas compter sur la certitude de cette action. (ils ne savent pas ce qu’individuellement feront leurs correcteurs et si le décret est abrogé, l’action sera annulée et les copies seront notées normalement).

B) Mode d’emploi

1) Dès les premières épreuves écrites du bac (langues rares le 21/03/07.), le correcteur corrige normalement ses copies, sans annotation, et note sur une feuille à part l’évaluation réelle. Si la veille de la remise des copies, le décret n’est pas abrogé par le nouveau ministre de l’éducation nationale, les correcteurs mettent 19/20 à toutes les copies qu’ils rendent le lendemain.

2) Pour les épreuves orales, le correcteur met la note de 19/20 à tous les candidats.

C) Comment s’organiser d’ici là?


1) Dans chaque établissement, nous proposons que cette action soit soumise au vote des enseignants. (on peut envisager la même action pour le brevet en collège).

Puis un collègue par établissement envoie :

- le résultat du vote

- le nom de l’établissement

- son mail

 à l’adresse suivante : bacpourtous@yahoo.fr

Nous centraliserons les réponses et tiendrons chaque établissement informé des pourcentages de participation.

 2). Par ailleurs, les enseignants de chaque discipline envoient un courrier à leur IPR pour leur dire qu’ils envisagent de participer à cette action.

Seule une très forte mobilisation sur cette action de tous les établissements permettra sa réelle efficacité et l’abrogation du décret !

L’AG des enseignants du lycée Jacques Brel, le 20/03/07.

21 mars 2007

Quand l'action paye à M. Genevoix !

Pour ceux qui n'étaient pas présents à la réunion de lundi midi, sachez que l'action commence à payer : suite à nos lettres aux IPR et au recteur, et à la rencontre avec l'IA-adjoint vendredi soir, le lycée vient de récupérer les 3h que nous réclamions en SES, ce qui permettra de former 3 TES et 3 1ES à maxi 30 élèves au lieu des 2 classes surchargées et 1 classe allégée non dédoublée initialement prévues dans la DHG. Ce changement a des répercussions sur les dédoublements en langues : faites vos calculs et reprenez la DHG, il doit maintenant manquer des heures en langues !

21 mars 2007

Et la suite ?

Pour la poursuite de l'action, plusieurs pistes sont envisagées d'ici les vacances, à discuter rapidement, par mail et en réunion au lycée :

1. démission des professeurs coordonnateurs (de toutes les disciplines si possible) comme cela a été fait au lycée Marie Curie de Sceaux. Une solidarité financière avec les collègues démissionnaires devrait être envisagée.

2. organisation d'une demi-journée ou journée de bivalence : échanges entre profs d'une même classe.

3. pour info et réflexion, je vous fais parvenir (ci-dessous) une proposition du lycée Jacques Brel de La Courneuve, à discuter.

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